Norbert Engel
« La beauté donne corps à l’amour »

Engel, en allemand, c’est l’ange, le messager, l’intermédiaire.
Je suis depuis toujours un contemplatif/actif, d’où deux vies parallèles de peintre et de chef d’entreprise, l’une nourrissant l’autre.

Quatre moments clés

– Une enfance où l’observation des nuages tenait une place prépondérante

– 1998 à 2001, Les ARTS DÉCO de Strasbourg dans l’Atelier de Franck Helmlinger, lui-même dans la lignée de transmission d’Auguste Rodin. J’y ai appris l’art de voir sans juger, déclenchant ainsi une gestuelle instinctive libérée d’un contrôle mental normatif.

– 2000, première exposition sur le thème « 50 ans, 50 nus ». Son succès a déclenché une boulimie d’exploration, d’expérimentation assoiffée, affamée, joyeuse, sur divers supports ( peintures acryliques sur toiles de lin tendues sur châssis, all-over sur grandes toiles brutes avec des techniques diverses: pouring, droping, griffures, grattage, ponçage etc… ) et en de multiples formats ( très peu de Large, mais surtout du XL ou XXL.)

– 2017, l’exposition de David Hockney à Paris, qui m’a fait découvrir les possibilités incroyables de la peinture numérique dont la palette de couleurs est d’une richesse infinie. Achat d’un iPad pro dans l’urgence et, depuis, addiction totale à cette nouvelle technique d’expression qui donne la possibilité à l’amateur d’art d’acquérir de véritables oeuvres originales éditées sur aluminium à des formats de son choix.

Picasso a dit « je ne cherche pas, je trouve.»
J’approuve!
Dans un corps à corps avec la toile, je trouve le chemin qui mène du coeur du peintre au coeur de qui aime contempler sa peinture.